Plus répandu, le terme anglais « IoT » (Internet of Things) a remplacé le français « Internet des Objets » et désigne tous les objets connectés à Internet via diverses technologies de communication. Cela va des objets du quotidien comme le smartphone, jusqu’aux capteurs les plus variés utilisés par les industries de tout secteur. L’objet connecté créé désormais un lien étroit entre le monde matériel et le monde numérique. Il n’est plus réduit à son simple statut physique, devient intelligent et se voit attribué de nouvelles capacités. La montre connectée donne l’heure, calcule des déplacements, reçoit des e-mails quand, dans le même temps, le compteur d’eau calcule une consommation, mesure la température extérieure tout en surveillant son propre niveau d’usure.
Les objets connectés à internet peuvent aussi communiquer entre eux : le radiateur de votre maison s’allume lorsqu’il vous détecte à proximité de votre domicile par l’intermédiaire de votre smartphone. Tous les deux connectés via internet s’échangent des informations pour apporter un avantage à son utilisateur.
Usage domestique ou professionnel ? Objet intérieur ou extérieur ? Objet fixe ou mobile ? C’est pour répondre à des usages et des contraintes multiples (poids du message, distance entre deux appareils, fréquence d’envoi de données, …) qu’une grande diversité de technologies se sont développées et que l’on peut classer en 3 catégories pour les besoins de l’IoT :
Plus qu’un terme à la mode, l’IoT permet d’ores et déjà de connecter des millions d’objets fournisseurs de données. L’étape suivante réside dans le traitement de ces informations pour la mise en œuvre des services intelligents (ex: application mobile) pour la sécurité, la santé, la mobilité ou encore l’environnement.
*SUEZ utilise la technologie LPWA appelée Wize, pour une utilisation standardisée de ses compteurs communicants.